On savait déjà que les nouveaux réalistes et la figuration narrative (en France) ou des électrons libres comme Equipo Crónica (en Espagne) exploraient les mêmes territoires. Mais on n’aurait pas imaginé que cette tendance « Pop » ait pu nourrir tous les continents, avec des formes à la fois voisines dans l’esthétique et diverses dans le contenu. C’est ce qu’entend démontrer la grande exposition de la Tate Modern, en gestation depuis quatre ans, qui s’est appuyée sur de nombreux voyages et sur des contacts directs avec les artistes encore en vie, apportant son lot de redécouvertes. Ainsic...
Une autre histoire du Pop Art
Article publié dans le n°1138 (01 nov. 2015) de Quinzaines
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