L’acquisition d’un portrait de Hans Mielich en 1570 ? La commande d’un Christ de douleur à Adrien de Fries en 1607 ? L’achat en 1643 de L’Assomption de la Vierge de Rubens ? La commande d’un portrait à Hyacinthe Rigaud en 1740 ? D’un autre à Élisabeth Vigée-Lebrun, en 1793, en pleine Révolution ? Ou encore l’acquisition, pour un prix astronomique, du célèbre Badminton Cabinet, chef-d’œuvre d’ébénisterie, en 2004 ? Un fil relie ces actes au long de cinq siècles d’histoire : ils sont tous l’affaire d’une même famille. À notre époque, où les nouveaux riches se con...
Liechtenstein, une histoire de famille
Article publié dans le n°1144 (01 févr. 2016) de Quinzaines
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)