Or, nous avons les livres, précisément, ces puissants médiateurs, pour nous aider à trouver la voie de cet autre et de ce tout autre. Marc Delouze s’en sert comme de compagnons, d’initiateurs : par eux, les tragédies du XXe siècle déferlent sur sa table, envahissent ses nuits, prennent possession de son esprit ; mais cette intrusion bénéfique – et c’est la première originalité de ses Chroniques du purin, immédiatement perceptible – s’accomplit dans un cadre rustique, familier, celui de sa maisonnette campagnarde en Puisaye : les poutres grincent, la lune semble s’offu...
Une conscience veille
Article publié dans le n°1152 (01 juin 2016) de Quinzaines
Chroniques du purin
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