Dans sa brève postface, il explique qu’il a procédé « par accumulation et par fascination ». Par fascination, sans aucun doute, car c’est en aimant ses personnages qu’il nous les fait aimer. La figure centrale et rayonnante est celle de Giuseppe Garibaldi, « el Diablo », étudié dans tout son glorieux parcours, c’est-à-dire depuis ses campagnes en faveur des indépendantistes d’Amérique du Sud (1835- 1848) jusqu’à ses très célèbres victoires italiennes. Soutenu pendant plus de dix ans par Aninha, la belle créole, figure mythique de pasionaria, idolâtrant son « José...
Une prouesse littéraire
Article publié dans le n°1137 (22 oct. 2015) de Quinzaines
Les folles espérences
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)