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Une spirale du langage

Deux recueils de réflexions sur la langue et le théâtre. Le premier, "Une langue inconnue", outre deux textes déjà publiés séparément, en contient un troisième qui sert en quelque sorte de tremplin au second corpus, intitulé "La Quatrième Personne du singulier". En effet, Valère Novarina le reprend en partie pour ensuite poursuivre sur sa lancée. Ainsi les deux recueils s’emboîtent-ils.
Valère Novarina
La quatrième personne du singulier (P.O.L.)
Valère Novarina
Une langue inconnue (Zoé (mini))

Novarina procède par courtes séquences, des paragraphes ou parfois même de simples phrases, qu’il numérote ou non, toujours visant au cœur l’œuvre théâtrale, cherchant sa source vive dans une spirale du langage, des langues, du théâtre. Et qu’en est-il de cette « quatrième personne du singulier » ? L’idée n’est pas nouvelle, qu’il y a en chacun de nous – ce qui, en novarinien, s’écrit et se lit « chaque un » – quelque chose de tapi, de bien caché, de bien enfoui mais prêt à jaillir dans certaines conditions et circonstances privilégiées. Socrate évoquait son daïmon, fau...

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