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Mis dans l’ombre par la gloire tardive de Georges de La Tour, le plus spectaculaire des caravagesques français (mais Romain d’adoption) est présenté dans sa quasi6intégralité au Louvre. Chez Valentin de Boulogne, bourreaux, ivrognes et saints font bon ménage.

EXPOSITION

VALENTIN DE BOULOGNE. RÉINVENTER CARAVAGE

Musée du Louvre

22 février-22 mai 2017

 

Catalogue de l’exposition

Louvre éditions/Officina Libraria, 268 p., 39 €

Dieu que le XVIIe siècle est joli ! Et varié ! En sortant des salles surpeuplées de « Vermeer et la peinture de genre » où l’on s’est rassasié d’intérieurs bourgeois, de carrelages bicolores, de meubles cossus, d’un bien-être sûr (tables couvertes de tapis chamarrés, cartes géographiques au mur, épinettes et luths effleurés par des doigts diaphanes), l’exposition voisine est comme un coup de poing à l’estomac. Faces patibulaires, épées promptement tirées et d’où le sang dégoutte, réunions de tavernes où roulent des dés crasseux. Et plutôt que des formats menus, à caler au-dess...

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