Après avoir disposé de ses biens, narré la manière dont elle a acquis sa gloire littéraire, elle rappelle certains épisodes d’une vie commune riche en aventures, que ce soit dans le monde « réel » (Irlande, France, Suisse…) ou dans des mondes parallèles peuplés de fourmis, elfes, hymantopodes et autres engeances. Le roman, porté par l’hyperbolisme du ton et de l’inventivité langagière, l’adresse vigoureuse à Luise ou au lecteur, se veut le récit d’une vie « de quatre cents coups » passée en voyages, fêtes, hold-up, ébats amoureux, rencontres étranges et création...
Virtuose volubilité
Article publié dans le n°1044 (01 sept. 2011) de Quinzaines
                                        So long, Luise                                    
                                    
                                                                                (Denoël)    
                                        
                                        
                                    
                                
 
                 
        
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