Idem pour le polygraphe Casanova. Qu’il ait publié, par exemple, en 1788 et en cinq tomes, sans voir venir ce qui venait, Icosameron ou Histoire d’Édouard et d’Élisabeth qui passèrent quatre-vingt-un ans chez les Mégamicres habitants aborigènes du Protocosme dans l’intérieur de notre globe (manuscrit miraculeusement réchappé d’un noir orage et traduit en français de « l’anglois » par notre Vénitien) vaut seul le déplacement. Qu’il ait vilipendé Rousseau ou analysé à sa manière Bernardin de Saint-Pierre ou La Henriade (mais oui !) de Voltaire, ou le bi...
Casanova écrivain
Article publié dans le n°1072 (16 nov. 2012) de Quinzaines
Propos littéraires
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