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Malgré l’heure tardive, la lumière vive sur la place de l’Amirauté évoque les nuits blanches de juillet, celles de Dostoïevski. Au milieu de l’immense place piétonne, au pied de la colonne d’Alexandre (quarante-sept mètres de marbre posés sans ciment sur un socle), un guitariste hurle des chansons rock pas vraiment poutiniennes et les badauds en reprennent les refrains. Au nord, la place est fermée par l’Ermitage, au sud par les arcades de l’état-major des armées, dont une aile héberge le nouveau bâtiment qui abritera les collections permanentes des impressionnistes, la magnifique collec...

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