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Dans la nature avec Thoreau

« Le monde curieux que nous habitons est plus merveilleux que pratique, plus beau qu’utile et doit être plus admiré et apprécié qu’exploité ». Henry Thoreau (1817-1862) le disait du fond de son Massachussetts, et ses lointains petits-enfants français, embusqués contre d’inutiles aéroports, barrages ou Center Parcs, à Notre-Dame-des-Landes, Sivens, ou Roybon, n’ont pas oublié sa parole.
Henry David Thoreau
Journal (sélection de Michel Granger)

Aujourd’hui, zadistes de terrain ou de coin du feu peuvent bénéficier d’une sélection de l’imposant journal que Thoreau rédigea de 1837 à 1861, c’est-à-dire de la fin de ses études au Harvard College à la période précédant immédiatement sa mort. Les lecteurs les plus vaillants se tourneront ensuite, histoire de prolonger et d’approfondir le plaisir de cette lecture si particulière, vers le feuilletage des sept mille pages de l’édition originale, ou bien attendront leur publication complète aux éditions Finitude (trois tomes, sur la quinzaine projetée, ont déjà paru, dans la traduction de...

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