C’est donc à un parcours personnel en vingt-neuf courts chapitres qu’est invité le lecteur. S’il y a des passages obligés – comme les belles pages sur Henriette qui, malgré le message gravé de la pointe d’un petit diamant sur une vitre de sa chambre à l’hôtel de la Balance à Genève, ne sera jamais oubliée –, il y a aussi des détours plus originaux. Des raccourcis et parallèles nous font passer allègrement du Vénitien au gentleman cambrioleur Arsène Lupin ou encore au surhomme de Nietzsche.
Le titre l’indique, pour Alain Jaubert, comme pour d’autres avant lui, l’aventure est le fo...
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