Le livre réserve quatre chocs successifs. Le premier, la couverture constructiviste, à l’allure de « fenêtre Rosta », inspirée de celle, agressive, magnifique, de l’édition de 1932 : de grands à-plat noirs qui découpent à angles aigus ce qui semble être des toits d’usine surmontés d’une cheminée plantée de travers comme une croix sur un crâne (la couverture originale, où le nom de l’auteure et le titre en portugais font partie intégrante de la composition dessinée par Galvão elle-même, figure en page 12). Le deuxième choc, c’est le prologue de Liliane Giraudon, splendide profération biog...
Le « roman prolétaire » de Pagu
Article publié dans le n°1135 (16 sept. 2015) de Quinzaines
Parc industriel (roman prolétaire)
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