A lire aussi

Livre du même auteur

Des betteraves et des communistes

Deuxième roman du jeune auteur Clément Caliari, Gibier invite le lecteur français à arpenter la mythique Puszta, la grande Plaine et sa solitude. Mais ce n’est pas à la solitude que va se frotter le lecteur, c’est aux betteraves et à leur épopée.

À Tiszlár en effet, les betteraves, du champ à l’assiette, sont le cauchemar de Pacha Szekér, qui, dès la première page, se révolte contre cette soupe « dégueulasse » qu’il lui faut subir jour après jour. Si la petite fille, pour qui le père a choisi un nom russe, est dodue, c’est parce que, à l’insu de ses congénères, elle parvient à chaparder quelques bouts de lard. De ce refus catégorique de subir une situation, Pacha tire toute sa force, et toutes ses faiblesses. C’est sur les pas de ce personnage haut en couleur que Clément Caliari nous entraîne dans plus de cinquante ans ...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi