Comme son premier roman autour de Klara, celui-ci s’élabore autour d’un personnage. Jean est un gentilhomme campagnard. Il est l’aîné et sa haute taille en impose à la famille. Il a « fait » la guerre de14. Il en revient, se marie, mène une existence plutôt nomade, obéissant aux impératifs de son métier de jardinier-paysagiste. Puis il se fixe en un lieu dit Rocterre, y cultive ses rosiers, y élève sa petite-nièce, y subit la guerre de 40 et finit par y mourir. On l’enterre comme le notable qu’il est. Une biographie plutôt banale, en somme, sauf qu’il n’en est rien. Il lui est arrivé une...
Du centre vers une périphérie lointaine
Article publié dans le n°1012 (01 avril 2010) de Quinzaines
                                        La sentinelle tranquille sous la lune                                    
                                    
                                
 
                 
        
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