Il se cache dans le ventre mou de la peinture du XIXe siècle. Son nom autrefois célèbre a désormais pâli et le fait aisément confondre avec le pastelliste Quentin de La Tour, aussi dévalué que lui, ou avec Georges de La Tour, qui, au contraire, s’est imposé de manière magistrale depuis les années 1930. Son double patronyme le dessert également, qui facilite son inclusion dans la cohorte des oubliés de l’académisme, à côté des Debat-Ponsan, Carolus-Duran, BastienLepage et autres Benjamin-Constant. Bref, qui se souvient de Fantin-Latour ? On a bien quelques vagues réminisce...
Fantin-Latour, des fleurs et des hommes
Article publié dans le n°1158 (01 oct. 2016) de Quinzaines
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