Wes Anderson lui a dédié son Grand Budapest Hotel (2014), inspiré des récits et de l’incomparable Monde d’hier : Souvenirs d’un Européen, qui expliquait de première main à la fois la fin du « mythe habsbourgeois » et l’inexorable pente vers le suicide collectif du Vieux Continent. Les distributeurs français du dernier film de Maria Schrader ont été bien inspirés de le baptiser Adieu l’Europe, même si le titre allemand, Vor der Morgenröte (« avant l’aurore »), est bien plus suggestif. Stefan Zweig se pensait en effet comme l’un ...
Le Brésil au crépuscule
Article publié dans le n°1158 (01 oct. 2016) de Quinzaines
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