Sur le même sujet

A lire aussi

Fidélité à Samuel beckett

Maurice Nadeau a écrit le premier article consacré à Samuel Beckett, avec qui il s’est lié d’amitié : la célébration de son centième anniversaire a donné l’occasion de le rappeler. En ce même mois de mai, les hasards des programmations ont doublement placé Fin de partie à l’affiche, dans deux mises en scène très différentes, celle d’Alain Françon à la Madeleine et celle de Kristian Lupa à Nanterre-Amandiers (1).

La troisième pièce de Samuel Beckett, la deuxième connue à l’époque, Fin de partie (2), a été créée en français au Royal Court Theatre de Londres en 1957 par Roger Blin, qui en était le dédicataire et tenait le rôle de Hamm. Celui qui avait déjà fait découvrir au théâtre En attendant Godot, interrogé par Tom Bishop pour les Cahiers de l’Herne, disait servir totalement certaines pièces, faire alors une « mise en scène invisible » et renoncer volontiers au plaisir d’un spectacle personnel : « Les grands textes, tant qu’ils n’ont pas passé une période historique, ...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi