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Une enquête policière – Freud était un lecteur de Conan Doyle –, une saga familiale, une histoire d’amour et partant de haine ; quelle que soit la qualification retenue, on ne lâche pas ce récit à rebondissements, le déroulement énigmatique de la relation entre Freud et celui qui fut longtemps son disciple préféré, le « grand vizir », le « paladin », le Hongrois Sandor Ferenczi.
Yves Lugrin
Impardonnable Ferenczi. Malaise dans la transmission

Psychanalyste, Yves Lugrin ne cesse pas de l’être lorsqu’il prend la plume : loin de se laisser aller à faire de la psychanalyse appliquée ou des interprétations sauvages, loin de se limiter au registre événementiel ou strictement historique, il procède, comme se doit de le faire un analyste, avec prudence, n’avançant que des hypothèses susceptibles de rendre compte des impasses et des échecs qui ponctuent cette relation dont une imposante correspondance, pas moins de mille deux cents lettres (QL nos 597, 693 et 786), constitue la matière première. Il procède aus...

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