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Hollywood entre chien et loup

La Cinémathèque française a retrouvé le goût des rétrospectives thématiques et donné le ton de la plus belle des manières avec Hollywood décadent (14 décembre 2016-25 janvier 2017), magnifique superproduction en quarante films qui a permis de mieux comprendre un moment passionnant – et d’une certaine manière mal reconnu – de la production cinématographique américaine.

La programmation concoctée par Murielle Joudet et Jean-François Rauger intéresse au-delà de son titre, cohérent et justifié, mais dont le caractère accrocheur (ou supposé tel) appelle d’emblée des éclaircissements. Il faut donc moins s’attendre à des scandales romains, à de la débauche ou à de la perversion tous azimuts qu’à un bouquet de roses d’automne, florilège crépusculaire et spéculaire d’une époque largement circonscrite aux années 1960. Le moment est celui de la fin de ce qui fut baptisé le système des studios, c’est-à-dire du cinéma « lui-même », tel qu’il fut produit et consomm...

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