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Alechinsky chez Matisse

L’un est mort en 1954, l’autre est né en 1927. Ils auraient pu se connaître mais ça n’a pas été le cas. Les affinités peuvent bien se passer d’un contact physique. Entre Matisse, l’amphitryon, et Alechinsky, l’invité, on les mesure à certains goûts partagés : la couleur, la richesse décorative. Et la marge ! De ces bords perdus, trop vite brossés par les artistes pressés, Alechinsky fait un territoire d’expérimentations, habité de signes et de mots.

EXPOSITION

ALECHINSKY. MARGINALIA. PLUME ET PINCEAU

Musée départemental Matisse, Le Cateau-Cambrésis (59)

5 novembre 2016-12 mars 2017

 

CATALOGUE DE L’EXPOSITION

Silvana Editoriale, 214 p., 35 €

Un titre obscur, en latin, allons bon ! Pour un membre du mouvement CoBrA – hybridation nordique de l’informel et de l’expressionnisme – qui était censé incarner une forme de libération par la couleur, le geste, la spontanéité ? Pierre Alechinsky, arrivé à l’âge respectable de quatre-vingt-dix ans (qu’il fêtera en octobre prochain), n’a jamais renié l’aventure de jeunesse menée aux côtés de Jorn ou d’Appel. Mais elle continue de lui coller à la peau même si elle a pris fin en un lointain 1951 (en pleine guerre de Corée), et qu’Alechinsky n’a cessé depuis de se renouveler, comme le montre...

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