La première section, « Le simple est vaste », est issue d’une résidence du poète dans l’atelier du peintre Marc Feld. Le poème initial pose le décor d’une « maison claire » qui incite à la rêverie : « On la croirait adossée à un vallon qui n’existe pas. On invente des arbres qui soupirent et des forêts invisibles, en pensée. » Cet « atelier troué de passages » s’avère être le point fixe d’une spirale dont l’énergie conduit vers un monde de questions.
Les toiles du peintre apparaissent elles-mêmes comme des fenêtres permettant de percer...
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