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Veracruz est un livre plein de livres : c’est dire si l’on peut s’attendre à ce qu’Oliver Rolin nous y raconte des histoires. Au sens d’aventures (avec de la passion, du sang, du sexe) et surtout au sens de menteries, quoique la signification du mot ne soit pas simple quand il s’agit de fictions.
Olivier Rolin
Veracruz

Dans Veracruz, la littérature ne se laisse jamais oublier. Le livre s’ouvre sur une conférence sur Proust que le narrateur doit donner à l’université, mais, comme il l’intitule « Proust m’énerve », nous sommes prévenus qu’il ne convient pas d’aborder les textes comme des icônes, avec des pincettes. Puis, après quelques rapides scènes de bars, de plages et d’hôtel, nous voici enfermés pour quatre chapitres dans la superbe bibliothèque du palais Medina-Schmidt, parmi des milliers de classiques espagnols en allemand, en français, en italien. Dans les chapitres qui suivent, le narra...

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