« J’ai longtemps laissé croire que ma mère était encore en vie », confie l’écrivain dès l’ouverture d’un récit qui semble hanté par « le souvenir immarcescible » d’une génitrice rebelle qui avait choisi « de vivre telle une femme de nulle part dans le bourdonnement de la ville », dissimulée derrière un « masque de sérénité » et s’obstinait à lui « escamoter sa fragilité ». Du silence qui entoure sa disparition, de la mort d’un beau-père grandement aimé, de l’obstination de l’écrivain à conserve...
L'écart
Article publié dans le n°1076 (16 janv. 2013) de Quinzaines
Lumières de Pointe-Noire
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