Le 25 octobre 1925, à Rome, via di San Basilio, un peu avant dix heures du matin. Un prêtre se dirige vers le couvent des Capucins, sis au n° 8, pour y retrouver son neveu et sa nièce. Un jeune soldat le suit depuis un moment et la rue est déserte. Soudain, l’homme le poignarde par derrière avec sa baïonnette en hurlant : « Sale prêtre » ! L’ecclésiastique s’écroule. Il décédera à l’hôpital San Giacomo environ un quart d’heure plus tard. Le forcené est arrêté.
Voilà la scène brève, brutale, imprévisible, qui hante Philippe Artières. Il lui faut impérieusement ...
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