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La disparition des champs communs

Un village sans âge et sans nom pour un roman remarquable, construit dans le détail comme une tapisserie brodée à l’ancienne, superbement écrit comme une ode à la campagne et aux semailles, où Jim Crace, abondamment publié en français, aborde la destitution et questionne à nouveau le devenir d’une société et l’idée de progrès.
Jim Crace
Moisson

Les moissonneurs des épis d’orge, un inconnu boiteux qui dessine avec ses plumes et ses pinceaux, le veau à la broche et le glanage du lendemain : c’est une bribe de campagne loin de tout, une poignée de manants sensibles aux couleurs et aux senteurs, tout cela jusqu’au soir de l’incendie des écuries. Sous les panaches de fumée, une « humeur hardie et bagarreuse » s’empare de ces cœurs simples devenus conjurés, qui mettent deux hommes au pilori et qui tondent une femme.


Dès l’ouverture, le roman de Jim Crace séduit par l’écriture – introduite par quelques ...

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