C’est sans doute l’attrait de cette promesse qui a conduit Michaël de Saint-Cheron à les explorer à son tour. Observant que les philosophes furent parfois rétifs à considérer la honte comme un domaine de réflexion à part entière, l’auteur s’interroge sur la spécificité de ce sentiment, sur sa résistance, car, en tant que concept, il ne s’assimile à aucune autre notion.
« Y a-t-il plusieurs façons de dire la honte ? » demande Michaël de Saint-Cheron. La grande question de cet essai est également celle-ci : que fait la honte, et qu’a-t-elle à dire de nous
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