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« La vie n’est jamais qu’une somme d’heures »

Né en 1907 et mort en 1956, Paul Gadenne a publié six romans de son vivant. De Siloé (1941) à L’Invitation chez les Stirl (1955), il a laissé une trace littéraire enviable. Une douzaine d’inédits ont paru depuis. L’intérêt des lecteurs n’a cessé de grandir. Les présents carnets sont inédits. Un nouvel éditeur nous en offre une belle édition, nonobstant l’absence de tiret demi-cadratin pour les incises.
Paul Gadenne
Le long de la vie. Carnets 1927-1937

Œuvre de jeunesse à part entière, ces sept carnets réunis s’apparentent à un bréviaire. À l’exception de quelques rares maladresses, naturelles chez un étudiant, tel l’accent sur le premier e de reparties[1] ou « j’ai été au bois », l’écriture est parfaite. Cette parole d’encre d’un écrivain qui « éprouve, à tort ou à raison, le besoin, la démangeaison d’exprimer » ne se démode pas. Paul Gadenne écrit au clair, en fin observateur, en fidèle de l’introspection. Il donne à peser les désirs, les émois, les fictions...

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