Tout au long du XXe siècle, le Brésil a exercé sa fascination sur les intellectuels français. De Cendrars à Lapouge, en passant par Claudel, Milhaud, Bernanos et Lévi-Strauss, ils sont nombreux à l’avoir sillonné et à y avoir trouvé une source d’inspiration. Dans ce contingent de poètes, d’ethnologues et de compositeurs, les photographes ne sont pas en reste. Pierre Verger, que le soussigné eut le bonheur de rencontrer en 1995, peu avant sa mort, dans sa petite maison rouge de Bahia, où il triait ses soixante-dix mille négatifs, était le plus connu. Sa reconnaissance tardive d...
Le Brésil est une géométrie
Article publié dans le n°1155 (16 juil. 2016) de Quinzaines
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