1965-1982 : ces années sont celles du troisième âge d’Aragon, qu’on aurait tôt fait d’associer à un troisième temps de l’œuvre, après la première césure des années 1930 pourtant beaucoup plus radicale puisqu’elle le fait passer du surréalisme au réalisme socialiste, du Paysan de Paris aux Cloches de Bâle. Cependant, à la parution de La Mise à mort, la critique identifie bien un tournant esthétique de l’auteur. Le Monde du 29 mai 1965 parle de « troisième naissance » à propos de ce roman vertigineux, plein de miroirs et de mises en abyme,...
Le dernier Aragon
Article publié dans le n°1074 (16 déc. 2012) de Quinzaines
                                        Oeuvres romanesques complètes                                    
                                    
                                
 
                 
        
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