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C’est un livre étrange, hors du commun, parce qu’il évoque le transport d’hommes et de femmes vers l’inéluctable et qu’il ne ressemble à aucune autre œuvre ou témoignage sur la Shoah – ce qu’il n’est pas, puisque son auteur est « né après ». C’est peut-être ce qui le rend étrange, audacieux, singulier…
Yves Flank
Transport

Le récit – qui pourrait être la forme amplifiée du Grand Voyage de Jorge Semprún, puisque nous sommes aussi dans ce « wagon bourré de futurs cadavres » et que déjà « les regards sont morts » – insiste plus longuement encore sur la promiscuité, la suffocation, le nauséabond, les odeurs, le relâchement des corps, la désolation, la réduction de l’homme à ses entrailles, à ses nécessités, à son corps soumis. On y entend des bribes de phrases en des langues inconnues, dans cette Babel mourante où les destins s’entremêlent et finissent. Par cette description de l’avi...

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