La notion de paradoxe est largement utilisée par les iranologues. Dans sa préface à L’Âme de l’Iran, Daryush Shayegan rappelle que les mystiques iraniens ont familiarisé les musulmans avec le langage des « paradoxes inspirés » et, dans un autre registre, il souligne que l’originalité de la révolution islamique réside dans son paradoxe. Jean-François Colosimo évoque Le Paradoxe persan : cent ans après sa révolution constitutionnelle, cinquante ans après sa révolution anticolonialiste, trente ans après sa révolution islamique, l’Iran s’impose plus que jamais comme un pays...
Un livre paradoxal sur le paradoxe iranien
Article publié dans le n°1005 (16 déc. 2009) de Quinzaines
L'exception iranienne. De la Perse au nucléaire
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