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Le thrène de l'Aral

« Il n’y a rien au monde de plus triste que toute chose dont l’homme a cessé de prendre soin » : c’est qu’en cessant de prendre soin de toute chose, il cesse de prendre soin de soi-même. La vie a besoin de la vie, ni de la négligence, ni de l’oubli.
Abdijamil Nourpeissov
Il y eut un jour et il y eut une nuit

Qui n’a entendu parler de la mer d’Aral et vu des images de carcasses de bateaux traînant aujourd’hui au milieu d’un désert ? De villages abandonnés par les pêcheurs et blessés à mort sous les seules lames de sable ? Le Larousse universel en deux volumes de 1922 parle d’un immense lac salé de 67 000 km2, dans le Turkestan occidental, alimenté par deux grands fleuves : l’Amou Daria et le Syr Daria, « dont les alluvions, en même temps que la sécheresse du climat, contribuent à diminuer progressivement sa surface ». À la nature, on le sait, l’homme est venu...

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