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Autobiographie des objets : va-t-on prendre François Bon en flagrant délit d’anthropomorphisme, alors que se suivent, à la lecture de ce livre singulier et sans ordre apparent, soixante-quatre textes, chacun coiffé de son titre : « flore portative Bonnier » ; « un Popeye en bouchon » ; « fournisseurs et ronds de serviette » ? Si l’on avait prévu à la fin quelques pages blanches, chacun aurait pu continuer l’investigation pour son propre compte !
François Bon
Autobiographie des objets

Effectivement, quantité d’objets nous ont tous entourés et servi. Certains sont encore là auxquels viennent s’ajouter les nouveaux que nous acquérons, car nous subissons des pressions constantes nous incitant à jeter, remplacer, innover, sous peine de ringardise plus ou moins aggravée… Encore qu’ils ne soient pas forcément transitionnels, on « tient » à certains de ces objets dont on pourrait raconter l’histoire et dire en quoi elle nous implique.


Tel est en partie le propos de François Bon : ses taille-crayons, sa règle à calcul, ses magnétit...

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