Pourquoi la lire, dans ce cas ? Pour y rencontrer l’homme, dans toute sa mesquinerie justement. Préparez-vous à une longue promenade en compagnie d’un travailleur manuel qui s’exprime « au ras du quotidien », assez prolixe toutefois quand il manie la plume. Comptent ici en priorité le fait historique et le fait de société, « la micro-histoire d’une famille toscane de la Renaissance », les « chroniques de la vie contemporaine », poursuit Fiorato, qui « tendent à dépouiller le “divin” Michel-Ange des “atours célestes” que lui ont valu ses œuvres artistiques ». Et c’est vrai, la longue rech...
Michel-Ange malade de la pierre
Article publié dans le n°1034 (16 mars 2011) de Quinzaines
Carteggio - Correspondance
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