C’est à cette deuxième catégorie, très rare en vérité, qu’appartient André Bernold, qui avait fait paraître en 1992 un petit livre, presque une plaquette, intitulé L’Amitié de Beckett. Trois ans après la mort de l’écrivain irlandais, le jeune Bernold y évoquait avec pudeur l’amitié qui le lia à Beckett entre 1979 et 1989 : leurs moments de partage, leurs lectures, leur amour commun pour la musique. Livre profond et juste, salué par la critique, L’Amitié de Beckett semblait alors, aux yeux de certains, lancer la carrière d’un critique brillant, peut-être d’un écrivain. I...
Notes d'un souterrain
Article publié dans le n°1170 (01 avril 2017) de Quinzaines
J’écris à quelqu'un
(Fage)
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