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Aux antipodes de la biographie mentale que constitue le livre d’Yves Bonnefoy (1), Will le Magnifique de Stephen Greenblatt nous entraîne dehors, dans les rues de Londres et de Stratford. Son Shakespeare n’est pas un rat de bibliothèque, il préfère l’expérience vécue. Vers la fin des années 1980, Greenblatt avait mis au point une méthode d’analyse des œuvres, le « new historicism », privilégiant leur contexte, les croyances, préjugés, coutumes et surtout les réseaux de pouvoir qui les conditionnaient. Comme l’indique le titre anglais, Will in the World, il prop...

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