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À l’ombre des orangers

  Abdel-Karim est l’héritier d’une grande famille de Tripoli, les Azzâm. Ismaïl, dont la mère est femme de ménage chez ces notables, a grandi dans le Quartier américain, le plus pauvre de la ville. À travers les destins croisés de ces deux jeunes gens, Jabbour Douaihy dresse le portrait mélancolique et documenté de la deuxième plus grande ville du Liban.
Jabbour Douaihy
Le quartier américain

Dans sa grande maison protégée des regards indiscrets par une rangée de ficus, Abdel-Karim s’étourdit d’airs d’opéra sous le regard d’une danseuse dont la photographie trône dans le salon. « Il a toujours été bizarre, dès l’enfance, mais il faut avouer qu’il l’est encore plus depuis ses longues années d’exil. C’est un sentimental »,estime sa femme de ménage, Intissâr, avec qui il a noué une tendre complicité mâtinée d’attirance physique. Un matin, elle confie son inquiétude à son employeur : son fils aîné Ismaïl a disparu depuis deux semaines.


À parti...

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