On ne sait de Tristram St Lawrence (celui de Sterne, ou de Joyce dont Claire Kilroy cite l’incipit de Finnegans Wake comme épigraphe de son livre) que ce qu’il veut bien nous dire. Or c’est un esprit profondément perturbé par le sevrage – il fréquente les Alcooliques anonymes –, par le conflit avec son père, par son statut social incertain (vieille noblesse anglo-normande), et surtout par la conscience brumeuse d’être une marionnette entre les mains d’un certain monsieur Dumont.
Il est l’héritier de Hilltop – décidément la « Grande Maison » en déréliction demeu...
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