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Tourments de l'adolescence

Épopée encyclopédique et picaresque d’une adolescence turbulente dans la banlieue dublinoise des années 1990, entre fureur et tendresse, obscénité et métaphysique, comique et tragique, ombre et lumière, "Skippy dans les étoiles" déroule 677 pages d’une prose d’une énergie étourdissante.
Paul Murray
Skippy dans les étoiles

Cette pyrotechnie textuelle s’inscrit dans le sillage direct de Thomas Pynchon (Rainbow’s Gravity, 1973) et de David Foster Wallace (Infinite Jest, 1996), mais aussi dans le cadre d’une des orientations majeures prises par la littérature irlandaise depuis les années 1920 (l’autre étant le dépouillement à la Beckett) : celui du récit foisonnant ouvert à toutes les dérives, incises et autres digressions (la fiction de Joyce).


D’entrée de jeu on apprend que Skippy, élève de Seabrook College – le Blackrock College de l’enfance de Paul Murray – meurt en...

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