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Avec Beckett

« C’est au métro Glacière qu’on se voyait, si on peut appeler ça se voir… » Grâce à l’intervention du « dieu Hasard ou alors Aléa, comme on préfère », le narrateur croise un homme célèbre : « Pendant une bonne année, il y en eut de pires, nous nous sommes vus avec régularité. »
Arthur Bernard
Gaby et son maître

Qui est ce « silencieux Touareg irlandais… l’œil fixé sur un horizon intérieur » ? Jamais un mot n’est échangé avec l’« Instituteur », le « Maître », mais on aura vite reconnu Samuel Beckett, à qui Gabriel Lavoipierre voue une admiration sans borne. Sous le masque transparent du narrateur qui lui permet « d’introduire du jeu en enlevant du je », l’auteur poursuit l’élaboration d’une œuvre – autofiction, autobiographie ? – très originale et attachante, déjà largement entamée avec La Guerre avec ma mère et Gaby grandit. Avant Beckett, deux autres maîtres, l’un qui encourage ses goûts et se...

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