S’il existe des œuvres qui suscitent des envies d’exégèse et de dissection à la loupe, d’autres appellent des manifestations plus modestes. C’est régulièrement le mot « amitié » qui revient dans la bouche de ceux qui lisent et relisent Brautigan. Force est de constater que l’auteur de La Pêche à la truite en Amérique a la curieuse capacité de devenir assez fréquemment, même plus de trente ans après sa mort, l’ami intime de celles et ceux qui le lisent. À preuve : une « Brautigan party », organisée en décembre dernier par la librairie parisienne Le Comptoir des Mots à l’...
Brautigan, un monument en mode mineur
Article publié dans le n°1165 (16 janv. 2017) de Quinzaines
C’est tout ce que j’ai à déclarer
(Le Castor astral)
Pourquoi les poètes inconnus restent inconnus
(Le Castor astral)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)