Avec David Lodge, dont les lecteurs français ont d’abord aimé les croustillants campus novels, avant de goûter sa palette désormais plus large, c’est la composante empirique qui l’emporte, de prime abord du moins. Le romancier confesse, dans l’avant-propos de Des vies à écrire, qu’il éprouve une attirance croissante pour les écrits « fondés sur des faits ». Ainsi, dans les vies d’écrivains, ce qui l’intéresse le plus, ce sont les révélations d’ordre intime, touchant forcément au sexuel et à la sexualité, mais aussi au registre fiscal. Une biographie q...
Choses anglaises
Article publié dans le n°1120 (16 janv. 2015) de Quinzaines
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