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Choses anglaises

Au menu, trois riches anthologies. La dernière en date reprend des textes consacrés par David Lodge à la biographie et aux vies d’écrivains (1). Signées Virginia Woolf, les deux autres (2) la montrent parlant d’écrire, comme elle traite de choses et d’autres : à bâtons rompus, et sans prendre de gants. À cent ans de distance ou presque, ces deux écrivains perpétuent, par-delà leur goût commun pour la presse, deux pans a priori antinomiques d’une même culture.

Avec David Lodge, dont les lecteurs français ont d’abord aimé les croustillants campus novels, avant de goûter sa palette désormais plus large, c’est la composante empirique qui l’emporte, de prime abord du moins. Le romancier confesse, dans l’avant-propos de Des vies à écrire, qu’il éprouve une attirance croissante pour les écrits « fondés sur des faits ». Ainsi, dans les vies d’écrivains, ce qui l’intéresse le plus, ce sont les révélations d’ordre intime, touchant forcément au sexuel et à la sexualité, mais aussi au registre fiscal. Une biographie q...

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