A lire aussi

Denis Roche : le scandale

Le scandale, ce n’est pas la mort de Denis Roche. Il savait qu’il allait mourir et il avait affronté la mort toute sa vie, dansant avec elle, faisant de chacun de ses textes, de chacun de ses gestes, une leçon qu’il lui adressait, pas un simple doigt d’honneur, mais l’idée que l’honneur était de l’affronter, de lui opposer la langue, le temps et le silence de la photographie, la coupure, la rupture, essayer d’être plus fort qu’elle : la prendre de vitesse.


La vitesse.


Il avait écrit Les Idées centésimales de Miss Élanize en quatre après-midi, dans un lyrisme affo...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi