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Éric Rohmer : Quand le cinéma se tait

Il y a toujours quelque chose de mystérieux dans les rencontres cinéphiles « fatidiques ». Quand les films d’un cinéaste exercent sur nous un attrait toujours plus grand, j’ai envie de dire impérieux, on se retrouve aux abords d’un paysage qui nous touche d’une manière particulière.

De quoi serait donc fait le paysage rohmerien ? Selon Keith Tester, auteur du livre Éric Rohmer. Film as Theology[1]il est à la fois spatial, thématique et stylistique. Spatial par sa localisation dans les vieux quartiers, la banlieue ou les sites de vacances. Thématique, avec lattention le plus souvent focalisée sur les relations amoureuses. Stylistique à travers la caméra posée à la hauteur du visage, sans effet de montage. Cette manière...

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