Intéressé depuis longtemps par l’univers de Marie NDiaye, Christophe Perton n’a pas attendu l’entrée de Papa doit manger au répertoire de la Comédie-Française en 2003 et le prix Goncourt de Trois femmes puissantes en 2009, qu’il va adapter au cinéma. À la Comédie de Valence, qu’il dirigeait depuis 2001 et qu’il a délibérément quittée au bout de neuf ans, il a mis en scène la première pièce de la jeune romancière, Hilda. Il a confié à Olivier Werner, un des artistes de la troupe permanente, la création en 2004 de Rien d’humain, qu’il vient lui-même de m...
En famille
Article publié dans le n°1034 (16 mars 2011) de Quinzaines
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