Paradoxes et déphasages foisonnent : l’auteur n’a jamais eu d’entretien approfondi avec celui qui lui avait pourtant confié une si délicate mission de coordination des services de police et de renseignement : le général de Gaulle. Alors qu’en 1988 le texte est semé de marques d’autosatisfaction pour le rôle difficile ainsi joué autrefois, un impératif de modestie s’exprime aujourd’hui. Mais le regard rétrospectif actuel (pas celui d’il y a vingt-deux ans) est-il pour autant signe de retenue, ou s’agit-il plutôt de faire triompher une vocation de pamphlétaire qui ne dit pas son nom ?...
En tête-à-tête avec l'espion
Article publié dans le n°1021 (01 sept. 2010) de Quinzaines
De Gaulle, les services secrets et l'Algérie
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)