Pour cette réédition, Christian Dufourquet a séparé Les Yeux paralysés et le Poème de l’Entre-deux par un inédit, le Journal de 1983, « une ébauche de journal », un patchwork où les coutures sont absentes, ce qui est souligné par l’absence de point après chacune des notules. Christian Dufourquet le présente comme « un éclairage, certes partiel, sur les circonstances qui ont prévalu à l’émergence du Poème de l’Entre-deux ». C’est aussi pour le lecteur de Dufourquet un rétro-éclairage sur ses livres en prose, et, si l’on prend la pein...
J'ai ton mal en moi, désormais
Article publié dans le n°1080 (16 mars 2013) de Quinzaines
Les yeux paralysés
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