Au moyen de l’évocation d’un poète latin d’une crudité et d’une sensualité décomplexée, est non sans humour décrite sur le mode allusif la vie érotique du moi poétique dans une section intitulée « contre-amours » (la troisième).
C’est cependant la déploration de tradition arcadienne de la fuite inexorable du temps qui trame l’ouvrage des « auto-portraits » (première section) aux fatidiques « 52 semaines » (deuxième section).
Ces « auto-portraits » offerts ne doivent pourtant pas être confondus avec une quelconque autobiographie. Dans l’exercice de Stéfan, la représentatio...
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