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Tout le monde n’a pas la chance d’avoir une enfance baignée de récits mythologiques. Leonora Carrington, elle, n’a pas été trop mal servie : famille aisée, naissance dans un château, mais surtout une nounou irlandaise qui la berce de légendes où l’angoisse et l’émerveillement sont pile et face d’une même pièce d’or.
Leonora Carrington
Leonora Carrington. Ouvre-toi, porte de pierre

Jusqu’à la fin toute récente de sa vie (elle est décédée en mai 2011, à 94 ans), Leonora opposera au conformisme accablant, aux absurdités révoltantes du monde extérieur la terre habitable de ses élans, de ses pensées, de ses rêves (on aimerait un autre mot, pourquoi pas « oniries » ?). Parfois aussi de ses abîmes : suite à l’arrestation de Max Ernst devenu son compagnon, elle fut internée en Espagne en 1940 et considérée comme « folle incurable » et en rapporta son poignant En bas, dont on attend toujours la réédition, comme de ses autres contes et...

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