Laurent Margantin – En tant que germaniste et traducteur, vous vous êtes surtout consacré à des auteurs – poètes ou philosophes – de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle, notamment Hölderlin et Hegel (dont vous avez retraduit La Phénoménologie de l’esprit). Comment passe-t-on de la langue de ces auteurs, de leur univers, à celui de Günter Grass ?
Jean-Pierre Lefebvre – On s’adapte à chaque nouvel auteur, mais le principe ne varie pas : la rigueur philosop...
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